Problème ragréage que choisir
Bonjour, J'ai une pièce avec une baie vitrée (futur cuisine) ou le sol n'est pas droit du tout (environ 3 cm d'écart maxi). Le parquet est déjà acheté (13mm) et il faut donc faire un ragréage pour remettre à peu prêt à niveau tout cela (je dis à peu prêt car on va devoir triché à cause de la hauteur de la baie vitrée). Le hic est que nous sommes au dessus d'une cave voutée, avec une chappe légère en béton (qui date car des morceaux s'éffritent) je voulais donc mettre une primaire d'accroche anti remontée humide (pour mon parquet) et un ragréage par dessus. J'ai eu 2 sons de cloches et je ne sais pas trop quoi faire: - Certains me préconisent PRB une primaire à 2 passes, avec du sable sur la deuxième puis ragréage fibré (donc très cher) - D'autres me préconisent primaire MAPEI 1h avant puis ragréage PLANO 3 pas fibré et pas trop cher. Qu'en pensez vous ? merci d'avance des conseils
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Réponses
coucou
un plafond voûté demande d'avoir du poids au dessus, ce qui n'est apparemment pas le cas puisque le revêtement actuel s'effrite
mis je vous proposerais un autre travail (je l'ai fait chez une de mes filles)
virer tout jusqu'aux voûtes
traiter avec un primaire d'accrochage, (parc ex 50/50 sikalatex/eau
et faire une chape en betonstyrènne d'une certaine épaisseur, c'est assez facile à niveler et cela isole en plus
un plafond voûté demande d'avoir du poids au dessus, ce qui n'est apparemment pas le cas puisque le revêtement actuel s'effrite
mis je vous proposerais un autre travail (je l'ai fait chez une de mes filles)
virer tout jusqu'aux voûtes
traiter avec un primaire d'accrochage, (parc ex 50/50 sikalatex/eau
et faire une chape en betonstyrènne d'une certaine épaisseur, c'est assez facile à niveler et cela isole en plus
Bricoleur tout terrain, qui n'y connait pas grand chose, mais qui a une idée sur tout..... (ou presque......) L'expérience des uns n'est pas celle des autres
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Bonjour Stéphane,
Outre l’emploi des produits adéquats (que je pourrais vous communiquer dans notre marque en MP si vous le souhaitez car mon propos n’est pas de faire de la publicité ni de la vente), il est essentiel de respecter un certain nombre de recommandations dans leur mise en œuvre.
La réussite d’un ragréage nécessite que le support soit :
- Dur et résistant afin d’éviter les fissurations et tout décollement ultérieur : cela se vérifie en rayant la surface avec un objet métallique pointu en plusieurs endroits. La rayure doit être superficielle. Dans le cas d’anciennes chapes qui doivent rester cohésives, il faudra vérifier dans toute l’épaisseur. Si le support ne s’avère pas assez dur, il faut l’éliminer pour retrouver un support sain.
- Stable afin d’éviter la fissuration du mortier : cela concerne surtout les planchers bois posés sur lambourdes ou solives et les panneaux bois
- La porosité doit être normale : les supports à base de ciment doivent être normalement absorbants afin d’éviter le bullage du mortier, sa dessiccation prématurée et pour permettre au ragréage de se tendre. Le test se fait en mouillant légèrement le support avec de l’eau. Le support est considéré comme normalement absorbant si l’eau est absorbée dans un délai allant de 1 à 5 minutes. En deçà et au-delà, l’utilisation d’un primaire régulateur de porosité (adapté et différent selon la vitesse d’absorption) sera nécessaire.
- Adhérent : toute partie du support non adhérente doit être refixée (dans le cas de carrelage par exemple) ou éliminée. Dans votre cas, les morceaux qui s’effritent doivent être enlevés.
- Propre : le support doit être propre afin de permettre l’adhérence du ragréage. Traces de plâtre, laitance de ciment, colle, peinture, graisse, etc… doivent être éliminées. Il doit être aspiré ou balayé soigneusement afin d’éliminer les poussières.
Ensuite, le produit appliqué doit correspondre aux contraintes rencontrées et coulé en suivant les recommandations et préconisations du fabricant qui figurent sur les emballages.
Outre l’emploi des produits adéquats (que je pourrais vous communiquer dans notre marque en MP si vous le souhaitez car mon propos n’est pas de faire de la publicité ni de la vente), il est essentiel de respecter un certain nombre de recommandations dans leur mise en œuvre.
La réussite d’un ragréage nécessite que le support soit :
- Dur et résistant afin d’éviter les fissurations et tout décollement ultérieur : cela se vérifie en rayant la surface avec un objet métallique pointu en plusieurs endroits. La rayure doit être superficielle. Dans le cas d’anciennes chapes qui doivent rester cohésives, il faudra vérifier dans toute l’épaisseur. Si le support ne s’avère pas assez dur, il faut l’éliminer pour retrouver un support sain.
- Stable afin d’éviter la fissuration du mortier : cela concerne surtout les planchers bois posés sur lambourdes ou solives et les panneaux bois
- La porosité doit être normale : les supports à base de ciment doivent être normalement absorbants afin d’éviter le bullage du mortier, sa dessiccation prématurée et pour permettre au ragréage de se tendre. Le test se fait en mouillant légèrement le support avec de l’eau. Le support est considéré comme normalement absorbant si l’eau est absorbée dans un délai allant de 1 à 5 minutes. En deçà et au-delà, l’utilisation d’un primaire régulateur de porosité (adapté et différent selon la vitesse d’absorption) sera nécessaire.
- Adhérent : toute partie du support non adhérente doit être refixée (dans le cas de carrelage par exemple) ou éliminée. Dans votre cas, les morceaux qui s’effritent doivent être enlevés.
- Propre : le support doit être propre afin de permettre l’adhérence du ragréage. Traces de plâtre, laitance de ciment, colle, peinture, graisse, etc… doivent être éliminées. Il doit être aspiré ou balayé soigneusement afin d’éliminer les poussières.
Ensuite, le produit appliqué doit correspondre aux contraintes rencontrées et coulé en suivant les recommandations et préconisations du fabricant qui figurent sur les emballages.
Gilles, conseiller technique Weber
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