Bonjour à tous. Je reviens vers vous suite à un problème que j'avais déjà évoqué et qui était resté sans réponse. J'ai donc essayé différentes choses sans réel succès. Je rénove actuellement ma troisième maison. J'ai une cave enterrée en pierre de 60 m2 en plein cœur des vignes. Plafond voûté dont le haut est à environ 3 m. Au dessus il y a une dalle puis notre habitation (ancienne mais rénovée). Quand je dis enterrée cela signifie que le sol et au niveau du plafond de la cave, pas plus bas. Les sources d'humidité sont nombreuses, et pour la plupart intraitable : remontés capilaires par les mûrs, condensation dû à la forte différente de température ext / int, léger ruissellement d'un côté. C'est dans la nature d'une vieille cave à vin (ancien cuvage avec cuves en béton dans cette même cave). Le ruissellement dont je parle n'arrive que d'un côté (nord-ouest), le côté amont, quand il pleut beaucoup et est évacué dans une rigole au pied du mûr, prévue à l'époque et qui disparaît dans le sol pour rejoindre les eaux pluviales. En bref, impossible de refaire entièrement la cave, mais j'aimerais limiter l'humidité, quitte à ventiler comme un bourrin. (Je trouve la consommation de la ventilation négligeable alors que celle d'un déshumidificateur est énorme). J'ai deux soupiraux : un en hauteur nord-est, et un nord-ouest, aux deux extrémité de la cave. J'ai d'abord tenté de mettre deux intractions de 90 m3/h, puis moins bêtement une intra de 90 m3/h (nord-est) et une extraction de 90 m3/h (nord-ouest). L'évolution a été importante mais là je recommence à avoir de la moisissure sur le bois et les tissus. Je m’apprête à passer à 220 m3/h en intra et 220 m3/h en extra qu'en pensez-vous ? Ou suis-je dans le faux et la méthode employée n'est définitivement pas la bonne ? J'ai aussi pensé à la VMI mais j'ai peur de pousser l'air humide dans l'habitation, reliée à la cave via une trappe, toujours fermée. Merci encore, dans l'attente de vous lire. Thibault