Schéma de pompe de relevage d’eau

fizz

Petite nouvelle

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24/05/2008 à 11h28

J'ai aperçu sur une revue (professionnelle ?) le schéma d'un système de pompage d'eau, avec vase d'expansion, clapet, crépine et un autre élément. Cette installation permet de relever l'eau jusqu'à 10m de profondeur, sans motorisation. Il ne s'agit pas du bélier hydraulique perpétuel qui fonctionne avec une source en amont, car dans ce cas la source se trouve en contre-bas. Merci

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Réponses

Par fizz

fizz

Petite nouvelle

Message(s) : 3

24/05/2008 à 17h18

j'ai trouvé ! mais si vous avez des remarques, elles sont bienvenues.

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Par Utilisateur désinscrit

Utilisateur désinscrit

31/05/2008 à 12h44

Bonjour Fizz, et bienvenue sur ce forum coopératif.
Intéressant certes, mais cela s'oppose aux lois physiques sur la transformation de l'énergie. Ici, on a un système qui une fois lancé ne s'arrêterait jamais malgré l'énergie consommée pour élever l'eau ? Manifestement l'objectif de départ est de créer un coup de bélier, qui augmente la pression au point de résistance (le ballon). La pression côté gaz augmente en fonction de l'intensité du coup de bélier, donc de la vitesse de fermeture de l'écoulement gravitaire; on a ensuite un équilibre précaire où le clapet sous ballon de ferme et le gaz restitue l'énergie qu'il a accumulée : l'eau monte ce qui consomme cette énergie, mais on a lors un équilibre entre le gaz (1 bar) la colonne d'eau (10m =1 bar) et le dessous du clapet (la hauteur d'eau côté alimentation donc 0,1bar si le système est plus bas de 1m par rapport au niveau du plan d'eau). La clapet sous ballon n'a alors aucune raison de se rouvrir. Seul un nouveau coup de bélier qui provoque une pression supérieure à 1 bar pourra rouvrir le clapet : résultat il faut une action répétée et consommatrice d'eau pour entretenir le système. Ouf, j'ai cru qu'on avait inventé le mouvement perpétuel !
Sur le papier ça a l'air joli !
Salut !

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Par fizz

fizz

Petite nouvelle

Message(s) : 3

31/05/2008 à 16h38

Merci Grain de sel d'attirer mon attention sur divers points : il faut réamorcer le clapet plusieurs fois "Mise en route : le clapet de la crépine restant bloqué, il faut amorcer le système en appuyant une dizaine de fois sur ce clapet de crépine afin de l'ouvrir, jusqu'à ce que le cycle du jet d'eau soit parfaitement régulier. Pour effectuer cette opération, le tamis de la crépine doit être ouvert sur le dessus afin de permettre le passage d'un doigt ou d'un objet similaire (orifice d'amorçage sur le dessin)." La pression : s'il s'agit d'un calcul-papier, c'est une construction qui poserait problème pour 10m mais pour 1m50 ? Et je ne sais pas du tout compter... La déperdition d'eau mérite encore autant d'attention : 60% de l'eau pompée est utilisée, donc il faut déterminer un emplacement en bord de ruisseau pour lui rendre son bien. Comme je souhaite utiliser un système pour arroser mon grand jardin, est-ce pratique ou y-a-t'il plus simple ? Dans ma petite tête, j'avais pensé à un tuyau branché sur une pompe à main et un vase d'expansion, mais il faut placer un bi-pass pour shunter l'aspiration établie et ne plus pomper. Merci de m'accueillir sur ce forum passionnant

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Par Utilisateur désinscrit

Utilisateur désinscrit

01/06/2008 à 11h18

Bonjour.
Il y aura toujours un moment où tu passeras de la loi de Laplace au principe d'Archimède.
Par contre si tu peux profiter de l'énergie d'écoulement pour faire tourner un pompe qui relève l'eau, pas de problème.
Ou toute autre énergie disponible (si possible gratuitement).
Tiens, fais un petit investissement : un panneau photovoltaïque (de préférence en silicium amorphe pour profiter de la clarté sans attendre le soleil) et une pompe, tous deux en 12V : un petit débit à 10m cela finira toujours par faire déborder le vase

et sans réchauffer la planète.
Autre solution genre cafetière : tu fais chauffer l'eau par capteur solaire, elle se vaporise partiellement en augmentant de pression, un clapet l'empêche de remonter à sa source et elle s'écoule là-haut. La pression chute, le clapet s'ouvre, l'eau rentre, elle chauffe, le clapet se ferme, l'eau monte : ça y est, j'ai inventé la machine à vapeur