Pour les prescriptions contre l’humidité et les nomenclatures des locaux humides :
https://www.weber.fr/fileadmin/user_upload/prescrire/reglementations/13153_img.pdf qui indique :
2. Classement des locaux
Le tableau 1 indique le classement du local en fonction de
son hygrométrie (§ 2.1) de l’exposition à l’eau des parois
(§ 2.2) et de son entretien (§ 2.3).
Cinq classes sont ainsi définies :
EA : locaux secs ou faiblement humides ;
EB : locaux moyennement humides ;
EB+ : locaux privatifs : locaux humides à usage privatif ;
EB+ : locaux collectifs : locaux humides à usage collectifs ;
EC : locaux très humides en ambiance non agressive.
Le non respect d’un seul des critères conduit au classement
du local dans la classe correspondant au degré
d’exposition à l’eau du local immédiatement supérieur.
Pour monter une cloison légère mais solide : la cloison alvéolaire :
https://www.leroymerlin.fr/idees-conseils/comment-poser-une-cloison-alveolaire---1298989207Pour fixer les radiateurs, j’ai « plâtré » des petits cubes de bois découpés dans un chevron, destinés à recevoir les vis des pattes de fixation du radiateur à eau chaude, d’une profondeur 4 cm maximum pour les insérer dans la cloison (1cm+ 3cm d’alvéole carton) que j’ai évidée de la taille de chaque cube. Pour que le cube ne ressorte pas sous le poids, je l’ai encoché de deux entailles sur deux arrêtes opposées et j’ai cloué 4 pointes sortant légèrement d’1 cm. Chaque cube –autant que de points de vissage du radiateur, j’imagine que c’est 4 au moins – est repéré pour être affecté à son tour dans la cloison, car il faut entailler au besoin la cloison sur les bords de son trou pour faire rentrer le cube avec ses clous. Je n’ai pas « plâtré » avec du platre, mais bourré le trou avec du MAP (pâte colle pour plaque de carton) qui me restait avant d'y pousser le cube.