Bonjour Jérémy,
Habituellement, il faut une étude thermique pour déterminer quelle est la résistance thermique de l’isolant à mettre en œuvre, la ventilation, le type d’option (toiture chaude ou froide), etc… Avez-vous fait ou fait faire cette étude ? Vous pourriez allez au-devant de soucis de condensation et ou d’inconfort.
Si la résistance thermique de la laine de roche est certifiée, est-ce le cas de cet isolant mince ? Sauf exception, ils ne sont considérés par l’ADEME et d’autres organismes que comme des compléments d’isolation (R de l’ordre de 1.5 à 2 en respectant les indications de pose des fabricants bien difficiles à respecter dans la réalité du terrain (lames d’air immobile) bien loin de ce qui est annoncé). Bien peu bénéficient d’un certificat acermi. Il est préconisé un R de 8 environ en toiture. Pour avoir une isolation performante la moins épaisse possible, il faut utiliser des isolants à faible lambda.
On trouve en ligne des schémas type d’isolation de
toitures métalliques. A vous de développer les schémas (chaude double peau, chaudes simple peau, froides avec plénum ventilé et creuser le sujet et déterminer ce qui est le plus adapté dans votre cas.
Renseignez-vous bien avant de vous décider, vous ne seriez pas le premier (ni hélas le dernier) à vous retrouver avec de la condensation en sous-face des bacs acier ou une isolation insuffisante !