"Si vous faites tout cela pour économiser les déperditions du cumulus, vous mettrez au moins 5 ans à amortir le coût de l'installation." Bon, donc je vais essayer d'expliquer: -maison de 100m² dans le médoc clément l'hiver, ancien cumulus de 200L, seul au RSA (450€) puis AAH (850€ au total) -je ne chauffe pas, sauf 5 jours de feu de cheminé (insert ouvert) dans l'hiver (avec jogging+jeans, 3 sweats, 2 paires de chaussette... plaid de canapé comme Foresti, ... auxquels on s'habitue très vite) et la VMC s'évacue dans le toit, l'aérant (pas d'humidité depuis 1 an, car nombre de douches réduites et accumulateurs d'humidité au gros sel Lidl partout y compris dans le "grenier"), et marche la nuit en été (climatisation du toit) et la journée ensoleillée en hiver (remplace le double flux et chauffe le "grenier"), selon l'observation manuelle de la dT extérieur ou jusqu'à la fermeture des volets, isolants. -Même si je prévois 2H de chauffage 2x1kW dans le salon à la tombée du jour et des températures, il suffit de prévoir quand

et de ne pas faire la cuisine en même temps (ce que j'évite de faire dans la douche :p ): les chargeurs (téléphone, Ordi portable, TV, radio...) et l'éclairage LED ne consommant presque rien. Le cumulus présente d'énorme perdition de chaleur, la cuisine où il est installée n'étant pas chauffée, elle descend jusqu'à 9°C en hiver (isolation à revoir) pour un cumulus à 70°C environ derrière un cache en aggloméré, or, contrairement aux mensonges d'EDF depuis des décennies, les déperditions dépendent de la différence température intérieure/extérieure. En outre, il faut 10 mètres de canalisation figées dans la dalle en béton pour arriver à la sdb, soit une à deux minutes d'écoulement d'eau chaude pour chauffer la canalisation sans déperdition. Enfin, il n'y a pas de cumulus stéatite 200L en livraison à 150€ comme celui de Leclerc dont la cuve a duré 11 ans (sans problème de stéatite). La perte est énorme entre les douches, m'imposant d'arrêter le cumulus, et de prévoir les jours (réduits donc) où je sors et doit me doucher (un calvaire en sorte): c'est ma principale dépense énergétique. Pour cela, je branche alors un programmateur pour 7h de chauffe à 1 ou 2kW en HC, m'imposant de prévoir ma douche deux jours à l'avance. D'après mes calculs, en tarif unique pour le kWh, une douche de 1/4 heure par jour en chauffe-eau instantané est inférieur ou égal au prix d'une douche avec le cumulus (abonnement mensuel compris). Ma première intention était le triphasé 400V, avec 21kW, mais il faut : -changer les 60 mètres de fils dans le jardin (le plus embêtant) -vos réponses -changer le disjoncteur principal dans la maison -changer de compteur et non pas de fusible enedis, soit 150€ -agrandir le tableau pour les tetra-disjoncteurs Le débit conseillé pour une baignoire étant de 11kW (source:mano-mano), certes l'élévation de température risque de ne pas suffire (dt=25°C à 6,8L/min ce qui correspond au débit avec réducteur de pression), mais cela dépend de la température initiale de l'eau (celle de la terre du jardin) et de la sdb: à défaut de me mettre à chauffer, la mise en place d'une cabine de douche refermable au dessus de la baignoire, suffirait à éviter la chute drastique de température de l'eau chaude à la sortie de la douchette, imposant un flux d'eau continu pour la douche. En outre, deux CE instantanés afin de préchauffer l'eau, revient au même et dépend des kVA... donc il faut du triphasé dans ce cas. Sinon un petit cumulus, mais on revient au problème de départ... En effet, du monophasé 21 ou 24kVA, serait utile pour les CE instantanés à haute puissance (15, 18 et 24) comme au canada ou aux USA. Le prix de l'installation en monophasé étant de +150€ (CE, non réductible) +30 (disjoncteur 63A) +50 (changement enedis du tarif unique et fusible 18kVa, cher payé: tarif horaire plus cher que les 15 minutes de vaccination chez le vétérinaire pour les BAC +6 de enedis...) soit un surplus du coût d'installation de 80€, amortis rapidement, voire, instantanément, vu que les CE à cumulus stéatite 200L avoisinent 200€ sur internet... Continuant donc à y réfléchir, (l'installation du compteur de branchement datant de la fin des années 80, "15-60A 220V type A10C2 monophasé")): -faut-il changer le disjoncteur principal de 45A (500mA), ou pas selon ce que j'ai lu (45A<63A...[?]) Et résumé pour le monophasé 230V: -passage à x KvA (sans changement du compteur principal 45A 500mA) -DD bipolaire 63A 30mA (mais il grillera plus facilement en 30mA qu'en 50mA ou 4000, d'où un risque accru, non? j'ai lu que le pouvoir de coupure du DD doit être supérieur au Disjoncteur principal... Ce qui voudrait dire que l'on grille le DP au lieu du DD? Réponse présumée: 30mA seuil d'arrêt respiratoire pour l'homme en cas de court-circuit?) -de type AC (mais pourquoi pas A, vu qu'il prend en compte les court-circuits AC et DC comme le lave linge, le prix étant quasi-identique) -de courbe D (pour la mise en route sans coupure) -câblé au disjoncteur principal en 16mm² (phase et neutre) -câblé du DD bipolaire 63A au disjoncteur 63A (facultatif) en 16mm² (phase et neutre) -cablé directement du tableau au CE instantané dans la salle de bain en 16mm² (phase et neutre) [norme NFC limite le 6mm² à 32A, 10mm²/40A, 16mm²/63A] -et la terre dans tout ca? Est-ce bien ca?