soutenement d’un flanc de colline - page 3
Bonne Année
Je reviens une 3ème fois sur le sujet. Je vais faire la synthèse des quelques maigres renseignements que j'ai pu obtenir sur le site.
Le seul qui m'ait apporté quelque chose d'intéressant étant Footix.
Ma question est longue, mais adaptée à la complexité de mon problème.
Peut être que l'un où l'autre nouveau venu pourra apporter une pierre à l'édifice
Données du problème : maison en pierres encastrée dans le flanc d'une colline, en cas de pluie forte ou de longue durée de l'humidité dans le mur
Moyens mis en œuvre : manuel étant donné vu la configuration des lieux même une petite pelle ne passe pas, donc bêche, pelle et brouette soit environ 20 m³
Solution provisoire apportée : sortir la maison du flanc de la colline en éliminant les terres, c'est chose faite la maison est décaissée sur 13m de long et pour la partie la plus haute 3m dans la colline sur une largeur de plus ou moins 1,8/2m
et mise en place d'un trottoir de 80 cm, et d'une gouttière avec évacuation des eaux pluviales
la tranchée est plus basse que les fondations de la maison (d'où la présence du trottoir assez épais)
Résultat : plus de problèmes d'humidité dans la maison
Conséquences en cas de fortes pluies : l'eau s'accumule entre le trottoir et le flanc de la colline, j'avais mis un drain qui rejoignait les égouts mais le drain se sature d'un fin argile qui obture le tissu géodésique qui l'entoure.
Problème restant à résoudre et pour lequel je pose la question :
ce flanc de colline découper sur une hauteur de 3 m pourrait bouger dans le temps suite notamment à des orages répétés par exemple (on voit des glissement de terrain ailleurs chaque année)
la structure de ce flanc de colline doit être le fond d'une rivière ou d'un fleuve à une époque datant de la formation géologique du lieu (la proximité du Rhône (250m à vol d'oiseau) me laisse penser qu'à une époque lointaine le Rhône venait jusque là)
dans le fond, j'ai un matière sableuse/argileuse excessivement dense et dure au sec comme au mouillé, impossible de bêcher tout au plus on arrive à gratter de la matière lorsqu'elle est humide
à 2 m on retrouve le lit d'une rivière +/- 50cm d'épaisseur (d'où ma supposition précédente) un matelas de silex agglutiné dans du calcaire (il faut au marteau pic pour le casser), ce qui stabilise le terrain, mais cela peut aussi se casser en cas de glissement
au dessus de la terre mélangée à des pierres de nature diverses
La question est comment soutenir ce flanc de colline pour éviter qu'un jour peut être celui ci ne glisse en enfonçant le mur de la maison.
Situation qui n'arrivera jamais d'après certains, mais je n'en suis pas si sur.
Construire un mur de parpaings, si cela bouge, il ne résistera pas.
Construire un mur en béton coulé et armé, difficile à mettre en œuvre, il faut faire un coffrage jusque 2,5m environ, le rigidifier avec des poutres, caler celles ci contre le mur de la maison, le tout sur une longueur de 13m environ
ce qui nécessite 11 panneaux de coffrage (inutiles par la suite) plus les poutres et les entretoises
le ferraillage serait assez aisé et je pourrais faire couler le béton par le plateau du dessus avec des buses
Construire un mur banché, c'est la solution retenue jusqu'à présent, mais qui pose son lot de problèmes.
La base du mur banché devrait être reprise sous la colline par du béton armé pour faire contrepoids en cas de poussée (comme ce serait le cas plus haut)
elle devrait aussi revenir appuyer contre le trottoir existant (ce qui n'est pas un problème en soi)
un fois le mur dressé et ferraillé, il faut couler en une fois l'ensemble du béton, tout à la fois sous la colline, dans les blocs et jusqu'au trottoir
avec un malaxeur je devrai y arriver en prenant le temps (ce qui veut dire payer le temps d'attente du malaxeur) de tout couler
reste deux problèmes, le remplissage des blocs à bancher jusqu'au fond va nécessiter l'utilisation d'un béton relativement fluide, mais il devrait l'être moins pour la dalle rejoignant le trottoir.
Ensuite l'espace entre la colline et le mur à banché, devrait être comblé également, mais si je coule pour terminer un béton dans cet espace je risque avec la poussée de voir le mur banché d'effondrer.
Ce qui sous entendrait qu'il faille aussi l'étançonner sur toute sa longueur et je me retrouve presque dans la situation précédente (mur en béton)
Pour finir je me demande si le plus simple et peut être aussi le moins couteux ne serait pas le mur en béton au lieu du mur banché.
Y a t'il une solution que je n'ai pas envisagée ?
Si oui, laquelle (la mise en œuvre est faite pas un couple de relativement vieux, ce qui a son importance)
Reste dans tous les cas qu'il faudra aussi poser au pied intérieur du mur un drain pour évacuer l'eau susceptible de se concentrée au pied du mur
Merci à vous
Je reviens une 3ème fois sur le sujet. Je vais faire la synthèse des quelques maigres renseignements que j'ai pu obtenir sur le site.
Le seul qui m'ait apporté quelque chose d'intéressant étant Footix.
Ma question est longue, mais adaptée à la complexité de mon problème.
Peut être que l'un où l'autre nouveau venu pourra apporter une pierre à l'édifice
Données du problème : maison en pierres encastrée dans le flanc d'une colline, en cas de pluie forte ou de longue durée de l'humidité dans le mur
Moyens mis en œuvre : manuel étant donné vu la configuration des lieux même une petite pelle ne passe pas, donc bêche, pelle et brouette soit environ 20 m³
Solution provisoire apportée : sortir la maison du flanc de la colline en éliminant les terres, c'est chose faite la maison est décaissée sur 13m de long et pour la partie la plus haute 3m dans la colline sur une largeur de plus ou moins 1,8/2m
et mise en place d'un trottoir de 80 cm, et d'une gouttière avec évacuation des eaux pluviales
la tranchée est plus basse que les fondations de la maison (d'où la présence du trottoir assez épais)
Résultat : plus de problèmes d'humidité dans la maison
Conséquences en cas de fortes pluies : l'eau s'accumule entre le trottoir et le flanc de la colline, j'avais mis un drain qui rejoignait les égouts mais le drain se sature d'un fin argile qui obture le tissu géodésique qui l'entoure.
Problème restant à résoudre et pour lequel je pose la question :
ce flanc de colline découper sur une hauteur de 3 m pourrait bouger dans le temps suite notamment à des orages répétés par exemple (on voit des glissement de terrain ailleurs chaque année)
la structure de ce flanc de colline doit être le fond d'une rivière ou d'un fleuve à une époque datant de la formation géologique du lieu (la proximité du Rhône (250m à vol d'oiseau) me laisse penser qu'à une époque lointaine le Rhône venait jusque là)
dans le fond, j'ai un matière sableuse/argileuse excessivement dense et dure au sec comme au mouillé, impossible de bêcher tout au plus on arrive à gratter de la matière lorsqu'elle est humide
à 2 m on retrouve le lit d'une rivière +/- 50cm d'épaisseur (d'où ma supposition précédente) un matelas de silex agglutiné dans du calcaire (il faut au marteau pic pour le casser), ce qui stabilise le terrain, mais cela peut aussi se casser en cas de glissement
au dessus de la terre mélangée à des pierres de nature diverses
La question est comment soutenir ce flanc de colline pour éviter qu'un jour peut être celui ci ne glisse en enfonçant le mur de la maison.
Situation qui n'arrivera jamais d'après certains, mais je n'en suis pas si sur.
Construire un mur de parpaings, si cela bouge, il ne résistera pas.
Construire un mur en béton coulé et armé, difficile à mettre en œuvre, il faut faire un coffrage jusque 2,5m environ, le rigidifier avec des poutres, caler celles ci contre le mur de la maison, le tout sur une longueur de 13m environ
ce qui nécessite 11 panneaux de coffrage (inutiles par la suite) plus les poutres et les entretoises
le ferraillage serait assez aisé et je pourrais faire couler le béton par le plateau du dessus avec des buses
Construire un mur banché, c'est la solution retenue jusqu'à présent, mais qui pose son lot de problèmes.
La base du mur banché devrait être reprise sous la colline par du béton armé pour faire contrepoids en cas de poussée (comme ce serait le cas plus haut)
elle devrait aussi revenir appuyer contre le trottoir existant (ce qui n'est pas un problème en soi)
un fois le mur dressé et ferraillé, il faut couler en une fois l'ensemble du béton, tout à la fois sous la colline, dans les blocs et jusqu'au trottoir
avec un malaxeur je devrai y arriver en prenant le temps (ce qui veut dire payer le temps d'attente du malaxeur) de tout couler
reste deux problèmes, le remplissage des blocs à bancher jusqu'au fond va nécessiter l'utilisation d'un béton relativement fluide, mais il devrait l'être moins pour la dalle rejoignant le trottoir.
Ensuite l'espace entre la colline et le mur à banché, devrait être comblé également, mais si je coule pour terminer un béton dans cet espace je risque avec la poussée de voir le mur banché d'effondrer.
Ce qui sous entendrait qu'il faille aussi l'étançonner sur toute sa longueur et je me retrouve presque dans la situation précédente (mur en béton)
Pour finir je me demande si le plus simple et peut être aussi le moins couteux ne serait pas le mur en béton au lieu du mur banché.
Y a t'il une solution que je n'ai pas envisagée ?
Si oui, laquelle (la mise en œuvre est faite pas un couple de relativement vieux, ce qui a son importance)
Reste dans tous les cas qu'il faudra aussi poser au pied intérieur du mur un drain pour évacuer l'eau susceptible de se concentrée au pied du mur
Merci à vous
Bricoleur tout terrain, qui n'y connait pas grand chose, mais qui a une idée sur tout..... (ou presque......) L'expérience des uns n'est pas celle des autres
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Réponses
re
Normalement après mon retour en Ardèche (le 12/03)
d'abord la remise en ordre du terrain, ramassages des branches , premières tontes de la saison (plus d'un hectare)
mis en route du potager
entre deux je m'occupe de cela, le plus dur est de convaincre ma femme de la nécessité de mettre du pognon dans cette entreprise
dans tous les cas se sera fait à un rythme modéré, c'est ce qui m'intéresse dans le système de mur banché, comme tu l'as expliqué au début
j'ai pas mal de manipulation, chercher le gravier à la carrière, préparer le béton, le transporter au seau pour le verser dans les blocs en faisant le tour de la maison etc...
la photo n'est pas pour demain
Normalement après mon retour en Ardèche (le 12/03)
d'abord la remise en ordre du terrain, ramassages des branches , premières tontes de la saison (plus d'un hectare)
mis en route du potager
entre deux je m'occupe de cela, le plus dur est de convaincre ma femme de la nécessité de mettre du pognon dans cette entreprise
dans tous les cas se sera fait à un rythme modéré, c'est ce qui m'intéresse dans le système de mur banché, comme tu l'as expliqué au début
j'ai pas mal de manipulation, chercher le gravier à la carrière, préparer le béton, le transporter au seau pour le verser dans les blocs en faisant le tour de la maison etc...
la photo n'est pas pour demain
Bricoleur tout terrain, qui n'y connait pas grand chose, mais qui a une idée sur tout..... (ou presque......) L'expérience des uns n'est pas celle des autres
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C'est vrai que ça revient vite très cher ce type d'ouvrage.
J'en ai un de 33 mètres de longueur à réaliser, rien que la quantité de béton nécessaire me fait froid dans le dos.
Pour le reste, 1 hectare en Ardèche, c'est sans doute un coin de Paradis. Heureux homme.
J'en ai un de 33 mètres de longueur à réaliser, rien que la quantité de béton nécessaire me fait froid dans le dos.
Pour le reste, 1 hectare en Ardèche, c'est sans doute un coin de Paradis. Heureux homme.
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Bonjour
33m ce n'est pas peu, d'autant plus que la lecture d'autres post indique que tu en as déjà réalisé quelques autres
qu'est ce qui justifie un tel besoin de murs banchés pour toi ?
si la question n'est pas indiscrète.
Paradis, oui, pour les gens de passage, au niveau entretien, c'est autre chose.
Mais comme dit mon toubib; faut pas rester à rien faire,
alors on s'occupe
Au niveau bricolage, tout est en ordre à part ce mur banché que l'on remet d'années en années car les avis sont partagés sur sa nécessité.
Honnêtement, je suis partant rien que pour l'aventure de réaliser quelque chose que je n'ai jamais fait.
Je vais ainsi, d'aventure en aventure comme dit la chanson.
J'ai bien autre chose qui me turlupine, mais ma femme n'est pas d'accord
j'ai une surface bétonnée à vue ce nez de 20x30 m qui servait à l'époque du camping comme plaine de tennis, handball, basket
ils s'agit de plusieurs dalles sont les joints se dégradent d'années en années
tout nettoyer, faire poser un tarmac est hors prix pour l'usage que l'on en a (et puis le tarmac tient mal sur du béton
découper les joints sur toute longueur, creuser et remplir de béton, c'est beaucoup de travail et une dépense qui ne se justifié pas pour l'usage de cette surface
reste rendre à la nature ce qui lui appartient, tout casser et évacuer les débris; oui mais où ? cela représente également un cout.
il y a bien une carrière (appartenant à l'ancien propriétaire) qui peut servir à cet usage, le hic c'est que pour y accéder il faut que je fasse 350 m dont 90 en montée.
et lorsque tout sera parti, il faudra mettre quelques camions de terre pour combler (tiens faudrait que je songe à demander l'épaisseur de cette dalle à l'ancien proprio)
donc du travail, un cout certain autant de raison pour reculer (par chance, la piscine qui s'est cassée suite aux inondations ne fait pas partie de ma parcelle (c'est juste à côté)
j'habite un ancien camping désaffecté suite à des inondations, j'ai déjà viré ou réaménagé des anciennes structures reste cette dalle qui ne sert à plus rien (en été il fait trop chaud pour y jouer)
33m ce n'est pas peu, d'autant plus que la lecture d'autres post indique que tu en as déjà réalisé quelques autres
qu'est ce qui justifie un tel besoin de murs banchés pour toi ?
si la question n'est pas indiscrète.
Paradis, oui, pour les gens de passage, au niveau entretien, c'est autre chose.
Mais comme dit mon toubib; faut pas rester à rien faire,
alors on s'occupe
Au niveau bricolage, tout est en ordre à part ce mur banché que l'on remet d'années en années car les avis sont partagés sur sa nécessité.
Honnêtement, je suis partant rien que pour l'aventure de réaliser quelque chose que je n'ai jamais fait.
Je vais ainsi, d'aventure en aventure comme dit la chanson.
J'ai bien autre chose qui me turlupine, mais ma femme n'est pas d'accord
j'ai une surface bétonnée à vue ce nez de 20x30 m qui servait à l'époque du camping comme plaine de tennis, handball, basket
ils s'agit de plusieurs dalles sont les joints se dégradent d'années en années
tout nettoyer, faire poser un tarmac est hors prix pour l'usage que l'on en a (et puis le tarmac tient mal sur du béton
découper les joints sur toute longueur, creuser et remplir de béton, c'est beaucoup de travail et une dépense qui ne se justifié pas pour l'usage de cette surface
reste rendre à la nature ce qui lui appartient, tout casser et évacuer les débris; oui mais où ? cela représente également un cout.
il y a bien une carrière (appartenant à l'ancien propriétaire) qui peut servir à cet usage, le hic c'est que pour y accéder il faut que je fasse 350 m dont 90 en montée.
et lorsque tout sera parti, il faudra mettre quelques camions de terre pour combler (tiens faudrait que je songe à demander l'épaisseur de cette dalle à l'ancien proprio)
donc du travail, un cout certain autant de raison pour reculer (par chance, la piscine qui s'est cassée suite aux inondations ne fait pas partie de ma parcelle (c'est juste à côté)
j'habite un ancien camping désaffecté suite à des inondations, j'ai déjà viré ou réaménagé des anciennes structures reste cette dalle qui ne sert à plus rien (en été il fait trop chaud pour y jouer)
Bricoleur tout terrain, qui n'y connait pas grand chose, mais qui a une idée sur tout..... (ou presque......) L'expérience des uns n'est pas celle des autres
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Ce n'est indiscret.
J'ai un terrain en pente ( de 5 à 9 % ) au centre d'un village. J'ai une surface initiale de 2000 m².
Le front de ce terrain est d'environ 60 m, la profondeur de 30.
En emménageant, mon voisin qui me "surplombe" sur 30 m de front voulait remplacer le tas de gravats qui nous sépérait par quelque chose de propre.
Il n'était pas bricoleur, n'avait pas les moyens d'employer un maçon, j'ai donc réalisé avec lui mes premiers 30 m de mur banché.
Ensuite pour ma propre part 10 mètres puis 7 autres.
Dernièrement, j'ai acheté 500 m² en contrebas, j'ai l'opportunité de réaliser un plat, cela passerait par de nouveau 30 m de mur banché sur une hauteur de 1 mètre.
Là, j'hésite, car je vois bien la facture à au moins 7000 euros.
J'ai un terrain en pente ( de 5 à 9 % ) au centre d'un village. J'ai une surface initiale de 2000 m².
Le front de ce terrain est d'environ 60 m, la profondeur de 30.
En emménageant, mon voisin qui me "surplombe" sur 30 m de front voulait remplacer le tas de gravats qui nous sépérait par quelque chose de propre.
Il n'était pas bricoleur, n'avait pas les moyens d'employer un maçon, j'ai donc réalisé avec lui mes premiers 30 m de mur banché.
Ensuite pour ma propre part 10 mètres puis 7 autres.
Dernièrement, j'ai acheté 500 m² en contrebas, j'ai l'opportunité de réaliser un plat, cela passerait par de nouveau 30 m de mur banché sur une hauteur de 1 mètre.
Là, j'hésite, car je vois bien la facture à au moins 7000 euros.
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Bonjour
quand on voit ce que cela coute ne le faisant soi même, on aurait peur d'appeler un homme de métier.
et je trouve qu'en une dizaine d'années quoiqu'on en dise tout a augmenté terriblement c'est effrayant.
quand on voit ce que cela coute ne le faisant soi même, on aurait peur d'appeler un homme de métier.
et je trouve qu'en une dizaine d'années quoiqu'on en dise tout a augmenté terriblement c'est effrayant.
Bricoleur tout terrain, qui n'y connait pas grand chose, mais qui a une idée sur tout..... (ou presque......) L'expérience des uns n'est pas celle des autres
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Bonjour
comme il y a quelques nouveaux sur le site, je réactive ma demande, on ne sait jamais
comme il y a quelques nouveaux sur le site, je réactive ma demande, on ne sait jamais
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